Comme évoqué lors d’une précédente lettre (N comme navette) le transport autonome, ou plutôt automatisé, se développera, tout en restant prudent sur le planning…
Cette aventure ne se fera pas sans heurt, sans accident, sans reculade, sans réticence, sans violence, sans refus, sans vandalisme. Il convient donc de l’analyser sous tous ses aspects technologiques, sociales, normatifs, règlementaires et législatifs.
Il paraît donc opportun de suivre l’évolution de cette transformation sociétale au travers d’un outil d’observation que je baptise obserVAtoire. Le VA pouvant signifier Véhicule Autonome, Véhicule Automatisé, voire Villeneuve d’Ascq, matrice du VAL Véhicule Automatisé Léger, le métro de Lille.
L’ambition est d’éclairer les décideurs, dans une démarche d’intelligence collective.
Faciliter des échanges fructueux et constructifs entre les parties prenantes (autorités publiques, industriels, associations et citoyens) pour co-construire une société acceptable où la technologie n’est qu’un moyen.
ObserVAtoire, c’est prendre de la hauteur, analyser sous d’autres angles, ne pas se laisser emporter par la vague médiatique, et anticiper un débat public, inéluctable. Entamons ce travail par un échange intersectoriel et enrichissant au sein du pôle de compétitivité i-trans.
La prochaine, non ce ne sera pas P comme prospective, car il y a déjà eu P comme POC (design, Lille Capitale Mondial du Design en 2020), mais ce sera la lettre Q.